dimanche 12 juillet 2009

Congo-Brazaville/Présidentielle

Le scrutin déjà contesté

par AFP

Article publié le 12/07/2009 Dernière mise à jour le 12/07/2009 à 22:07 TU

Les électeurs ne se sont pas bousculés dans les bureaux de vote pour choisir leur nouveau président. Le taux de participation n’est pas connu mais l'opposition parle de plus de 90% d'abstention et de fraudes, ce que réfute le pouvoir.

Henri Bouka, président de la Commission nationale d’organisation des élections (Conel), en discussion avec des observateurs, à Brazzaville, le 12 juillet 2009.(Photo : AFP)

Henri Bouka, président de la Commission nationale d’organisation des élections (Conel), en discussion avec des observateurs, à Brazzaville, le 12 juillet 2009.
(Photo : AFP)

Les Congolais se sont rendus aux urnes dimanche, dans le calme mais timidement, pour élire leur président, le sortant Denis Sassou Nguesso faisant figure de grand favori face à douze adversaires, dont plusieurs ont appelé au boycottage du scrutin.

1 commentaire:

  1. Une élection organisée par un dictateur comme Sassou est gagnée d'avance, le reste n'est qu'une simple formalité.
    Nos frères et soeurs du Congo d'en face doivent se prendre en charge pour se débarasser de l'un des dictacteurs président en Afrique Cemtrae qui vit encore et ne veut pas qu'il y est l'alternance du pouvoir.

    Attendons voir s'il sera plébiscité avec combien de pourcent, certainement au délà de 50%, NKENDA KIBENI comme on dit chez moi à Madimba Ville.

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